Daigoku Yokai
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Akimitsu Hotashi - Professeur d'Histoire, de Mythes et Légendes

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Akimitsu Hotashi - Professeur d'Histoire, de Mythes et Légendes Empty
MessageSujet: Akimitsu Hotashi - Professeur d'Histoire, de Mythes et Légendes Akimitsu Hotashi - Professeur d'Histoire, de Mythes et Légendes I_icon_minitimeVen 24 Aoû - 2:03



HOTASHI Akimitsu



Info Général


    Surnom : Aki
    Age : 24 ans d'apparence / 168 ans d’années Lupine réelles
    Sexe : Masculin
    Race : Loup Garou
    Profession : Professeur d'histoire, mythes et légendes
    Chambre Solo ou Double : Solo
    Orientation Sexuelle : HETERO
    Passion : Chasser les petits lapins ...
    Pouvoirs : Je vieillis 7 fois moins vite qu'un humain, normal je suis un chien. Bien que je possède une force un peu plus élevée en apparence humaine, je garde ce que tout bon loup possède : le flair, l’ouïe et une excellente vue. Je suis très habile de ma lame en fin guerrier. Je lis aussi dans les pensées et peut parfois communiquer avec vous rien que par l'esprit. Cela peut-être déstabilisant car aucun de vos secrets ne m'échappent ni aucun de vos désirs. Là où je suis le plus dangereux c'est lors de mes transformations. Ma force se décuple alors, multipliée par deux ou trois, voir plus quand la faim et la soif de sang tenaillent mon ventre. Ma rage devient incontrôlable. Mes instincts s'intensifient , l'animal sauvage peut toute fois reconnaître un ami d'un ennemi. La pression de ma mâchoire peut déchiqueter de la chair et casser des os comme des fétus de paille. Par chance, il est rare que je transmette ma malédiction. Autant dire qu'il faut m'éviter durant cette période néfaste, un peu comme quand une femme a ses menstruations... Vous me suivez ?

    Armes : Mes yeux / Mes grognements / Mes crocs et mes griffes / Mon épée bâtarde d'acier noir et cœur en argent /
    L'effaceur du tableau de cours (Ben quoi ? C'est pas une arme ?)



Caractère

L’homme est un loup pour l’homme, ce qui, vous en conviendrez, n’est pas très gentil pour le loup. Je me complais à dire que je suis un loup parmi les hommes, un gentleman, un séducteur. Vous croyez pouvoir me dresser ? du genre : Assis, donne la patte ! Au pied, pas bouger ! D'accord mais en échange je voudrais bien être caressé ! Mais prenez garde ... Si jamais vous traitez un chien comme un humain, il vous traitera comme un chien... Oh ! Bien sûr, on peut obtenir beaucoup plus avec un mot gentil et un revolver, qu'avec un mot gentil tout seul. Et bien pas moi, au contraire. Plus vous me menacerez et plus je serais désinvolte. Quand aux femmes, ma foi, elles me font tourner la tête. Qu'elles soit provocantes, curieuses, indomptables, jalouses, coquines ou timides. Jamais les auteurs n'ont trouvé meilleur sujet. J'espère bien trouver LA perle rare, en attendant, je profite. Il n'est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage. N'est-ce pas ?

• L'homme : Dégagé, sans-gêne, impertinent, indifférent, c'est la définition de ma désinvolture car oui, je suis fait ainsi. Je râle aussi beaucoup, surtout après mes élèves, leur lançant parfois divers objets qui me tombent sous la main quand ceux-ci sont turbulents. La plupart du temps, c'est l'effaceur à tableau noir qui fait un vol plané à travers la salle de cours mais pour l'instant, aucun blessé n'a été déploré à ce jour. Tout du moins, je crois. Hormis cela, je suis doux comme un agneau. Pourquoi toussez-vous ? Je grogne aussi, c'est vrai, souvent lorsqu'on me pousse à bout. J'aime les femmes, sans aucun doute possible. Et bien que je ne sois pas vicieux, ni même de trop pervers, j'avoue être quelque peu gourmand. Je cherche cependant une unique, celle dont je ferais ma compagne et qui sera assez forte pour me supporter en totalité, y compris cette partie animale qui fait mon être. Totalement conscient de ma nature, je fais tout pour protéger les autres de cette autre moi.

• Le loup : Ma forme Lupine est un animal sauvage dont le seul but est de se nourrir de chair et de sang. Bestial et sauvage, bien que je me contrôle un temps soit peu à moins que ce soit l'animal qui me contrôle. Ma communication se résume par de la bave, des grognements et des hurlements féroces je communique donc par pensées. Personne jusqu'à présent n'a réussit à me "dresser" sous cette forme animale, bien trop dangereux. Même moi, je ne m'y risquerais pas et c'est bien pour cela que je m'attache, mentalement. Je n'en reste pas moins un loup, une espèce de chien, donc sait-on jamais. Un démon ou un ange serait sans doute de ceux qui s'autoriseraient à tenter la chose. Un vampire ? A ses risques. Leur odeur m'est insupportable bien qu'elle ne me gêne pas sous forme humaine et me rend encore plus agressif. Un autre loup ? Là aussi j'émets quelque doutes, sauf s'il s'agit d'une femelle.

• Tiques et manies : Grogner / Râler / Renifler / Lancer l'effaceur sur mes élèves qui discutent en cours



Physique

• L'humain : 1m82 /80 kilos . Je suis fait de muscles seyants et noueux, mes épaules sont fermes tout comme le reste de mon corps, bien proportionné. Je l'entretiens avec soin non par vanité, simplement pour rester en forme. Ma voix est ferme, mûre et caresse de ses timbres rauques et parle couramment le Roumain. Ma peau est légèrement mâte, à peine caressée par le soleil, chaude par nature Wulfaz et relativement douce. Mon visage est celui des hommes mûres malgré une jeunesse apparente, la mâchoire carrée, une bouche sensuellement dessinée et j'avoue un petit nez mutin. Mes yeux sont d'un rouge sanguin , légèrement en amande, et j'en abuse sur les jolies formes. Quoi de plus naturel, ils sont fait pour cela, non ? Mes cheveux sont d'un Noir de jais , que je porte longs, sans vraiment chercher à les disciplinés. Ils forment une belle masse de soie, j'en prends soin pour peu que les demoiselles adorent y mettre leurs doigts. C'est aussi pour cette raison que je ne cherche pas plus que cela à les coiffer. Vous pensez bien ... Pour ce qui est du reste de mon anatomie, je ne me plains pas non plus de ce côté, des fesses musclées, deux fossettes dans le creux de mes reins et un membre viril dont je sais me servir tout comme de ma langue et de mes mains. Car oui, chacun sait combien un loup peut avoir faim et ma faim est bien grande. Je ne porte ni tatouage ni piercing et contrairement à la bête qui sommeille en moi, mon corps est imberbe, curieusement.

• Le loup: 2m17 au garrot (debout sur mes pattes arrières) / 70 klg. Car oui, la transformation déforme mon corps dans des souffrances infernales. Une gueule se remplie de crocs pointus sous une mâchoire pouvant broyer des os qui s'ouvre devant vos yeux et se ferme sur votre peau. Mes iris rubis capables de vous reconnaitre ainsi que mon odorat. Mon corps s'assèche comme si la famine l'avait touché depuis plusieurs mois. On en voit mes côtes et mon ventre se creuse dangereusement. Mes muscles s'épaississent en puissance et ma peau se couvre de long poils noirs et soyeux. Une épaisse crinière englobe ma tête sous des oreilles en pointes. Des pattes massives remplacent mes pieds et mes mains, griffes acérées et puissantes tout comme mes canines et une queue touffue me pousse à l'arrière. Mes grognements et mes hurlements sont mon seul moyen d'expression lorsque la lune fait son office et me frappe de cette malédiction. La transformation est si douloureuse et si impressionnante que seul quelques lambeaux de tissu survivent encore sur mon corps mutilé.


Histoire

Dire qu'il faut revivre les évènements de mon passé pour vous les citer. Soit ! Puisqu'il le faut ...

Il y a 168 ans de cela, dans un village reculé à l'agonie, ma mère ramassait les dernières provisions avant l'automne de son jardin. A l'époque, quelques émeutes balayaient les contrées, les chasseurs s'acharnaient contre les loups pour sauvegarder leur bétail, les humains se disputaient les lopins miséreux de terres comme si la terre voisine n'était pas assez vaste. Tout était éternel conflit et propice à la discorde. Heureusement, le village était de ceux qui mourraient, les jeunes le désertaient bien vite pour faire leurs études et les anciens y finissaient simplement leurs vieux jours. Ma mère avaient déjà presque 38 ans et avait perdu son époux de la fièvre sans avoir put engendrer. Et c'est dans ce cadre de vie qu'elle s'acharnait à faire pousser ses quelques légumes afin de ne pas sombrer dans la faim, sans aide ni soutient. Elle ne s'en plaignait pas, tout du moins, je le crois. La vie était rude pour tout le monde. Mais cette journée ci fût bien différente, pour elle et pour mon futur père. Alors qu'elle retournait encore la terre, les bruits de sabots lourds d'un cheval la sortait de son labeur. Sur son dos se portait fièrement un capitaine d'une quarantaine d'années, bien passées, qui avait connu nombreuses guerres déjà et cherchait gîte et couvert pour quelques nuits. C'est tout naturellement que ma mère l'invitait dans son logis. Les jours, les semaines et les mois faisant leur œuvre, l'amour entre ces deux là naissait naturellement, bien que mon père s'absentait une fois par mois sans qu'elle n'en sache vraiment les raisons, souvent aux prémisses de l'approche de la lune pleine. Et c'est donc tout aussi naturellement que je vins au monde neuf mois plus tard, en plein hiver, la neige couvrant les terres de son manteau protecteur.

Les quinze premières années de ma vie sont passées si vite que je n'ai eu guère à m'en souvenir, heureux, entouré de l'affection de mes deux parents. Mais à l'approche de mes quinze ans venait aussi sonner le glas de ma malédiction. Mon père le savait, moi non. Et bien que mon corps humain grandissait alors comme tout les enfants de mon âge, je sentais que quelque chose d'effrayant allait m'arriver. Je faisais des cauchemars, toutes les nuits annonçant la lune et retrouvait parfois mes draps trempés de sueurs ou tout simplement déchirés. C'est bien souvent que ma mère fondait en larmes, inquiète de mon état, de peur de me perdre comme son premier époux. Mon père me prit alors par le bras et m'emmenait pour la première fois avec lui, lors d'un de ces "voyages" aux motifs suspicieux qu'il donnait à ma mère. Il m’enchaînait par le cou d'une lourde chaîne autour d'un large pin dans une forêt à l'écart de toute civilisation. Il en faisait de même pour lui vers un arbre voisin. Je regardais ce rituel avec des yeux rouges hagards sans vraiment comprendre mais je me souviendrais toujours de ce jour maudit et des paroles de mon père.

" - Fils... Ta mère ignore cela et je tiens à ce que cela reste ainsi. Tu n'es pas homme comme les autres, tu es de mon sang, de ma race. Tu es un loup Garou, mon fils. Et il est temps pour toi d'apprendre ce que tu es, par ma faute ... "

Cette nuit fût celle la plus atroce de ma vie, ma première transformation, je me souviens encore de la douleur qui m'a arraché des cris cette nuit là. Et la bête que devenait mon père sous mes yeux, moi-même me couvrant de poil et le noir total, plus de souvenirs, plus que des odeurs et cette faim de sang qui tenaillait mon ventre, les hurlements de mon être tirant férocement sur cette chaîne. La lune ronde et haute dans le ciel et cette soif qui n'en finissait pas. Ce rituel durait le temps que la lune retrouve un début de croissant, épuisé par la douleur, je regardais encore mon père, attristé de m'avoir offert ce "cadeau" de ses entrailles. Je ne lui en ai jamais voulu. Comment l'aurais-je pût ? Il n'y était pour rien, il était né Loup tout comme moi. Sans doute pensait-il chasser cette malédiction en prenant femme humaine ? Que sais-je ?

Les années suivantes furent celle de mon apprentissage. Mon père en guerrier redouté de ses nombreuses années de soldat m'apprenait tout sur l'art de l'épée, y compris ce qu'il y avait à savoir sur notre race. Autant dire qu'il était un excellent professeur et moi un élève des plus studieux. Cinq années de plus venait de s'écouler pour l'âge des humain, j'avais à peine grandi et vieilli pour ma part. Ma mère donnait son dernier souffle de vie à ses 57 ans. A l'époque, rares étaient les humains qui mourraient très vieux. J'ai vu pleurer mon père sur cette perte, j'en étais moi même attristé, ma la vie était ainsi faite. Et les question sur la vie et la mort me bousculaient un peu. Je posais donc la question à l'unique personne susceptible de me répondre.

" - Père ? Combien d'années peuvent vivre les êtres comme nous ? "

" - Entre 600 et 700 ans, Fils. Mais que cela ne t'empêche pas d'aimer. Il n'y a rien de plus beau que d'avoir partager ces quelques précieuses années avec ta mère. Tu comprends ? Fils ? "

" - Oui, je comprends ... "

Comment ne pas comprendre en voyant le bonheur qu'ils avaient partagé tout deux ne serait-ce qu'une petites vingtaines d'années humaines ? Les quelques cent quarante années qui ont suivirent ne furent qu'apprentissage, guerres chez les humains, famines chez d'autres, maladies en tous genre de part le monde et la fuite permanente des chasseurs de loups. Mon père se meurt aussi, passant le stade du vieux loup grisonnant. Je l'enterrais avec soin, aux côtés de la tombe de ma mère car malgré toutes ses longues années, il ne l'avait jamais oublié. Et puis le monde changeait sous mes yeux alors que mon corps vieillissait au ralenti. Mes années Lupines passaient sept fois moins vite que celle d'un humain ordinaire. J'affinais tout mes sens, mes instincts et mon art de l'épée.

Chez les humains, je n'ai qu'à peine 24 ans sur mon visage, je viens de passer les dix dernières années à parfaire mon éducation, me plongeant dans l'histoire, les mythes et les légendes urbaines. Je décroche un professorat par la force de mon travail, manquant les cours quand la lune est trop haute, mais j'y arrive. Je m'enferme ces nuit là, dans une cave, m'attachant solidement une chaîne au cou comme un chien trop dangereux. Je découvre enfin cette nouvelle vie qui m'attend. J'entends parler d'une école où seuls les êtres comme moi n'y sont pas pourchassés, où les êtres comme moi y sont accueillis. Et c'est en tant que professeur que j'entre dans cette aventure. Dans cette académie, suite à l’exercice de magie par Hayate, je perds mon humanité ou tout du moins le peu que je possédais et contrôler ma transformation lupine, sans influence de l'astre lunaire. Un lourd prix à payer envers ce démon gravé au fer rouge sur ma peau.

Je m'appelle Akimitsu Hotashi, je suis un loup garou et enseigne l'histoire, les mythes et les légendes.
Et vous ? Qui êtes-vous ?





Et vous ?

    Comment avez vous connu le forum ? : En cherchant sur Google un hospice pour les vieux.
    Qu'en pensez vous ? : Je n'ai toujours pas trouvé les infirmières ...
    Quel est le code réglementaire ? : VALIDE





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Dernière édition par Akimitsu Hotashi le Dim 19 Mai - 5:36, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Akimitsu Hotashi - Professeur d'Histoire, de Mythes et Légendes Akimitsu Hotashi - Professeur d'Histoire, de Mythes et Légendes I_icon_minitimeMar 29 Jan - 21:14

Mieux avec le new kit, les new modifs, le new code ♥ Et Toujours Célibataire ♥
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Akimitsu Hotashi - Professeur d'Histoire, de Mythes et Légendes

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