Daigoku Yokai
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Une rencontre au mauvais endroit, au mauvais moment entre un ... NON DEUX GRANDS MECHANTS LOUPS ! [PV: Raphael et Nevill]

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MessageSujet: Une rencontre au mauvais endroit, au mauvais moment entre un ... NON DEUX GRANDS MECHANTS LOUPS ! [PV: Raphael et Nevill] Une rencontre au mauvais endroit, au mauvais moment entre un ... NON DEUX GRANDS MECHANTS LOUPS ! [PV: Raphael et Nevill] I_icon_minitimeVen 1 Nov - 11:53


Une rencontre au mauvais endroit, au mauvais moment entre un ... NON DEUX GRANDS MECHANTS LOUPS ! [PV: Raphael et Nevill] 176835tumblrm017waIBaL1r66t8po1500
Ne me mangez pas … !
« Fais preuve d’imprudence et en danger tu seras. »

feat Raphael & Nevill

Nyu était quelqu’un de très obéissante. Donc, n’aller surtout pas imaginer qu’elle sècherait des cours, jamais elle ne le ferait, même si elle était malade. Et c’était son cas, aujourd’hui. Elle avait mal au ventre ainsi que des nausées, ce qui était relativement inhabituelle, chez elle, puisqu’elle n’avait jamais vomit, tellement elle en avait peur, et avait rarement mal au ventre. Mais tous ces maux ne l’avaient pas empêchée d’aller en cours, tout au contraire. Le matin, elle s’était donc levée, préparée, habillée, coiffée, mais pas maquillée. Nyu était une jeune fille tout ce qu’il y a de plus innocent et enfantine, ce n’était donc pas ELLE qui allait se maquiller. Elle mangea ensuite un petit truc, vraiment tout petit, car elle ne pouvait pas avaler grand-chose, compte tenu de ses maux de ventre et ses nausées. Puis elle alla à sa salle de cours, pour y passer une heure. Et ainsi se passer toute sa longue journée de cours.

A la fin de celle-ci, elle était absolument exténuée, et s’était retenue de vomir toute la journée. A peine la sonnerie retentit-elle que la petite jeune femme courut jusqu’à la forêt afin d’y faire une promenade et de prendre l’air, ainsi que peut-être, ne plus retenir dans son estomac ce que celui-ci ne voulait pas digérer. Elle s’engagea donc sur les chemins boueux de la forêt en courant, alors qu’elle était en tenue d’écolière anglaise –sa tenue préférée-. Ses jambes furent bientôt crépites de boue, de la cheville jusqu’au haut de la cuisse, sous sa jupe. Peut-être même sa petite culotte blanche était-elle tâchée aussi. Elle s’enfonçait rapidement dans les ténèbres de cette forêt effrayant, se frayant un chemin dans la végétation afin d’atteindre plus vite un endroit où elle pourrait être seule et pourrait, peut-être, enfin vomir. Elle traversa à grande enjambées la clairière où elle s’était laissé tomber de fatigue et de douleur, un jour, après avoir eu à subir les amusements d’un démon dans cette même forêt, et où elle avait été ramassée, une fois évanouie, par un magnifique jeune homme. Elle traversa donc cette clairière en quelques enjambées afin d’atteindre le deuxième bout de la forêt.

Au bout de plusieurs minutes de courses pour s’enfoncer et se perdre dans les bois, elle y était parvenue. Enfin seule. Engloutie par un grand silence et un noir absolu. Et, c’est avec toute cette pression qu’elle rejeta enfin ce que son estomac refusait de garder. Elle vomit. Tout ce qu’elle avait mangé ou bu depuis deux jours n’avait pas été digéré et attendait de ressortir enfin de l’organisme de la rose. Elle dégurgita tout ce qui la gênait puis se redressa, les larmes aux yeux. Elle essuya sa bouche de la main et fit quelques pas en arrière. Elle se sentait faible, nulle, pathétique. Elle fit demi-tour et prit le chemin pour retourner au lycée, prendre une bonne douche chaude et se mettre au lit, tout en pleurant. Elle ne se sentait pas bien, non seulement car elle était malade, mais aussi parce qu’elle en avait marre d’être toujours la plus faible de ce corps. Elle trainait des pieds dans la boue, fatiguée, salopant ses belles ballerines noires assorties à son uniforme de petite écolière anglaise.

Elle mit une bonne demi-heure à sortir de la forêt après avoir retrouvé son chemin, et à rejoindre le lycée. Elle était enfin arrivée et s’en sentait apaisée. Il ne lui restait maintenant plus qu’à aller prendre une douche brulante et aller se coucher. Elle n’avait pas la force de faire ses devoirs pour le lendemain. Et puis zut. Elle dirait qu’elle était malade, et c’était vraie en plus, et avait passé la nuit à l’infirmerie. Après tout, elle qui en faisait toujours trop, elle qui était une des seules à ne pas sécher les cours, ce n’était pas parce que pour un coup elle ne faisait pas son travail qu’elle allait être punie, non plus. Elle se dirigea donc vers les douches, ne prêtant pas attention au genre de ces douches, elle entra donc dans les douches mixtes, toutes sale, pleine de boue et toute transpirante à cause de la fièvre. Elle se déshabilla alors, sans savoir si quelqu’un était dans les parages ou pas. Elle enleva ses ballerines, sa jupe, ses chaussettes, son gilet et sa chemise, restant en sous-vêtements. Elle releva ses longs cheveux roses en une queue de cheval haute, soupirant « Pffouh … Quelle journée … ». Elle était blanche, comme un linge, non, comme une morte. A en faire peur.



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MessageSujet: Re: Une rencontre au mauvais endroit, au mauvais moment entre un ... NON DEUX GRANDS MECHANTS LOUPS ! [PV: Raphael et Nevill] Une rencontre au mauvais endroit, au mauvais moment entre un ... NON DEUX GRANDS MECHANTS LOUPS ! [PV: Raphael et Nevill] I_icon_minitimeDim 17 Nov - 6:48

J'étais parti tôt le matin, pour être sûr d'être revenu pour les cours. Une petite étudiante m'avait donné rendez-vous dans les sous-bois, cela faisait quelques semaines qu'on se fréquentait et je m'étais attendu à tout sauf à ce que je venais de voir. Elle, avec un autre, une grosse dispute. Il l'avait embrassé juste avant, donc j'en avais déduis qu'elle voulait le repousser mais, alors que je puisais dans mes capacités auditives, j'avais découvert qu'elle courait deux lièvres à la fois. En plus de sentir mon cœur se briser d'orgueil, j'apprenais qu'il l'avait suivit jusqu'ici pour la prendre en flagrant délit.

J'aurais pu interrompre leur dispute mais je repartais épaules basses, me faisant une raison, ce n'était qu'un coup de cœur après tout, j'avais perdu au jeu de la séduction et s'était tout. Cependant, à peine me fus-je retourné que j'entendis un bruit caractéristique. Frêle comme elle était elle n'avait pas pu être responsable de ce dernier. Je fonçais alors brusquement dans la forêt, les branches d'arbres et les ronces m'arrachant un peu les vêtements et m'égratignant légèrement, alors que j'étais aveuglé par la colère, et mis le jeune homme à terre, d'un simple coup de poing. Oser frapper sa bien-aimée? C'était tout bonnement inadmissible.

J'aidais la jeune femme à se relever et l'accompagnais à l'infirmerie, où j'appris qu'il la battait fréquemment. Pas étonnant que la jeune femme ait alors voulu trouver refuge dans mes bras. Je me promettais d'être ainsi toujours là pour elle et fit en sorte de faire assez peur à se timbré pour qu'il ne lève plus jamais la main sur une quelconque jeune fille, surtout sur elle. Je serais son soutien, et elle n'avait pas besoin d'autres choses, elle ne voulait plus se lancer dans une histoire d'amour alors je la respectais, ainsi que son choix.

Cependant toute cette histoire m'avait mis sur les nerfs, par conséquent, une fois assis sur le lit de ma chambre, je ne recouvrais pas le calme et la sérénité. Je soupirais. Une douche m'aiderait sans doute à aller mieux. Ainsi je me retrouvais affublé d'une simple serviette autour de la taille, d'un peignoir et de mes affaires de bain dans un sac à dos. Je rentrais ainsi sans me soucier de ce qui se passait dans les douches, faisant couler l'eau chaude en commençant à siffloter un petit air léger quand mes sens furent mis en alerte. Quelqu'un était là...Je remis discrètement ma serviette.

Je souris en remarquant la silhouette qui se trouvait non loin de la mienne et m'approchais tranquillement, sans trop faire de bruit, remarquant la boue à ses pieds. Je lorgnais avidement la jeune femme qui me tournait le dos et tentais finalement de me calmer pour frôler délicatement ses épaules d'un doigt, me positionnant derrière elle et murmurais au creux de l'oreille de la jeune femme:

-Alors, on avait besoin de se délasser? Un petit massage te ferait sans doute du bien?


Je ponctuais mon dernier propos d'une voix sensuelle, lente, posée. Sa présence m'avait bel et bien calmée, mais pas son corps envers lequel mon corps réagissait fortement bien, venant frotter doucement les fesses de la jeune femme, sans le vouloir. Je rougissais un peu, mais maintenant que...enfin il n'y avait plus qu'à espérer...Oui j'étais pervers, et attiré par les belles personnes...et oui mon cerveau s'était déjà imaginé des tas de choses. Pour autant je n'étais pas à l'abri d'une paire de claques. Heureusement, ma serviette était encore au sol, et ce n'était que la bosse de mon anatomie tendue qu'elle pouvait sentir à travers le tissu.
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MessageSujet: Re: Une rencontre au mauvais endroit, au mauvais moment entre un ... NON DEUX GRANDS MECHANTS LOUPS ! [PV: Raphael et Nevill] Une rencontre au mauvais endroit, au mauvais moment entre un ... NON DEUX GRANDS MECHANTS LOUPS ! [PV: Raphael et Nevill] I_icon_minitimeMer 20 Nov - 21:57


    Tic, tac. Tic, tac. L’heure tourne lentement, il n’y a qu’un bruit, celui du réveille. Et la respiration paisible de la chose enrouler dans les draps, dans un cocon de chaleur bienvenue. Pourtant, malgré ce tableau de douceur, de tendresse et de silence total, le brouhaha des lycéens finit par se faire entendre et, telle une larve qu’on aurait tirée de son sommeil réparateur, un truc bouge sur le lit, provoquant des grincements à peine audible et de vagues bosses sur le matelas. Une oreille, puis une autre, sortie doucement des tissus, l’air de se demander pourquoi diable étaient-ils sollicités aussi tôt. Un œil s’ouvrit, le second ne tarde pas non plus, observant cette chambre qu’était la sienne. Il aurait pu grommeler, insulter mentalement les protagonistes de ce réveille si brutal, mais non. A la place, il se redresse sur ses pattes, détruisant, déchirant avec ses ongles, les pauvres draps qui, décidemment, n’avaient pas vraiment de chance avec ce colocataire envahissant. Il descend du lit avec une grâce peu féline, s’écrasant lourdement sur le sol tel une forme informe qui aurait sauté du troisième étage. De quoi faire du bruit. Il redresse son petit museau avant de renifler timidement l’air. Un sourire étire ses lèvres et, tout fier de lui, se met à sautiller un petit peu, sa légèreté dut à ses organes pourris lui donnant le droit à de pareil fantaisie, chose que ceux de son espèce, ceux qui « vivent » toujours, n’auront jamais accès. Il se dirige vers la porte et, oubliant qu’il est trop petit pour pouvoir l’ouvrir, se cogne contre, la truffe pressée contre le bois. Nullement gêné de la situation, il se met à sourire de plus belle, un sourire purement porcin avant de faire demi-tour à la recherche de ses vêtements perdus. Une fois découvert, il se remet sous sa forme de voyage : ses muscles s’allongent, changent de place, sa chaire également. Ce n’est qu’une fois qu’il est sur deux pieds qu’il peut se sentir satisfait de sa performance : il avait bien réussit sa métamorphose sans trop de problème malgré le sommeil qui engourdissait encore ses membres. Mais il fait un peu froid et il préfère se vêtir un peu pour éviter d’attraper froid ; il attrape ce qui lui sert de vêtements, un pantalon à l’allure de short sur le côté droit et un pull, tous deux bons pour la poubelle si on examinait les divers trous qui les composaient. Il enfile des chaussures tout aussi bonnes à jeter que le reste avant de sortir par la porte qui lui avait fait défaut auparavant. Mais il revient sur ses pas, une idée de génie lui a traversée l’esprit. Il prend linge de bain et produits de douches, met le tout dans un petit sac de transport un peu troué et ressort de sa chambre, direction les salles de bains !

    Pourtant, pendant tout le trajet, il a été distrait. Des élèves passaient, il les interpelait, les saluait de manière instinctif et un peu trop brutal pour ceux-ci, se retrouvant souvent à les serrer un à un dans ses bras et repartir comme si de rien n’était. Parfois, c’était le mobilier de lycée qui l’interpelait, venant à leur parler comme s’ils étaient vivants et s’amusant à les draguer outrageusement malgré leur silence ; il prenait cela pour un jeu. Une fois, ce fut le tapis qui l’immobilisa, s’étalant à terre car son pied avait buté contre la seule bosse présente sur ce foutu truc. Il se la prenait à chacun de ses passages, comme s’il le faisait exprès. Et peut-être était-ce le cas ? Il continuait pourtant sa marche, comme si de rien n’était, sous les regards inquiets, rieurs ou agacés des lycéens qui devraient avoir l’habitude à présent. Cela ne faisait pourtant pas longtemps que le jeune rosâtre était dans le coin. Une semaine, peut-être deux, mais pas beaucoup plus. Pourtant, cela faisait quatre semaines qu’il était parti de chez lui. Il avait perdu le chemin à force de draguer la plupart des plantes, des animaux, qu’il croisait. Il s’était même pris d’affection pour un rocher majestueux.  Bref, tout un tas de bricole qui lui avait valu quelques jours supplémentaires dans la forêt. Et pour les cours, il n’y allait malheureusement que quand sa curiosité ne lui faisait pas trop de défauts. Mais il n’était pas vraiment l’élève exemplaire, plutôt celui qui observait autour de lui, n’écoutant qu’à moitié et s’amusant du moindre petit truc qui sortaient de l’ordinaire… Et il y en avait toujours énormément. Des petits bricoles pour certains, des jeux passionnants pour lui. Il s’était fait rapidement connaître, mais il ne savait pas les surnoms qu’on lui donnait. Il n’en prêtait que rarement attention. Il avait tendance à préférer jouer plutôt que de s’ennuyer. C’était sa façon d’être. Et le faite d’exhiber ses parties de sa race, oreilles et queue en tirebouchon, venait également d’un jeu où il était le seul à s’éclater vraiment… Et peut-être que les blessures sur sa peau de mort étaient également là pour son plaisir, mais elles n’étaient pas fraîches et ne dégageaient donc pas d’odeur pestilentiel, ce qui aurait été très désagréable pour ses camarades.

    Il finit enfin par trouver les douches, après plusieurs heures à s’amuser comme un petit fou dans tout le lycée. Il se dévêtit tranquillement, ne faisant guère attention pour l’instant aux deux jeunes qui y étaient déjà avant de les remarquer, quand il fut en sous-vêtement, seul vêtement qui n’était pas troué heureusement, mais qui avait bien vécu. Il sourit de toute ses dents en remarquant la peau très pâle de la jeune femme et, croyant qu’elle était comme lui, s’avance rapidement pour envoyer balader un peu le jeune homme et tourner la petite pour qu’elle se retrouve face à lui. Il lui touche les cheveux, ses yeux brillants de curiosité et d’amitié très forte pour elle. Elle lui ressemblait ! Elle était forcément comme lui ! Il en était persuadé, à tort, et il le découvrit quand il toucha sa joue brulante. Il cligne des yeux en remarquant qu’elle était chaude, chose qu’un cochon mort ne pourrait certainement pas avoir. Il exprime sa peine avec son regard, perdant le sourire et lui tirant un peu les joues pour voir si cela était vraiment réel ou si ce n’était qu’une vulgaire comédie.

    - Pourquoi es-tu chaude ? T’as les cheveux roses, la peau pâle, pourquoi t’es brûlante ?

    Il avait l’air d’un enfant capricieux, ce genre de gamin qui n’avait jamais honte de ce qu’il faisait, des questions qu’il posait ni de ses actes. Et c’était le cas. Il avait beau être un pré-adulte, il n’était qu’un gosse mentalement. Et c’est pourquoi il relâche les joues de la jeune fille pour venir l’attraper, l’enlaçant un peu et la soulève, riant à l’éclat, ne comprenant pas que cela pourrait mal tourné, que la demoiselle n’était pas comme lui, mais vraiment malade…. Et que l’homme pas loin ne serait pas d’accords d’être ainsi oublié ou mis de côté. Qui aurait aimé être dans sa situation ?

    - Tu es toute choupinette ! On dirait le lapin mort que j’avais ramassé sur la route et que j’ai mangé au coin d’un feu ! Dit-il les yeux pétillants d’excitation, celle de gamin et non d’adulte, et finit par tourner la tête vers l’homme, lui souriant de toute ses dents blanches : Et toi ? T’as la peau brûlante aussi ? T’es pas comme moi, mais t’as peut-être juste la température !
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